
Sélection bibliographique :
Auto-édition :
Extraits naturels de carnets, 10 volumes (vol. 1 à 5 réédités
à La comédie illustrée)
Semaine du 4 au 10 juillet 1997, A toi à moi, avec Placid
(dessin et scénario)
La Feuille de chou, 18 volumes
Carnet d'été, 2006.
Turbigo sandwich, 2006.
Carnet de campagne, 2006.
Reflets de Paris, 2006.
Rendez-vous le 9 juillet, 2006.
Aux éditions Chacal puant :
Lui contre maua, avec Blanquet (dessin et scénario)
Une brêve histoire d'amour, 1995
La Vie auchan, 1996
Aux éditions Alain Beaulet :
Moins X avant 2000, n° 4 à 1, 1997-2000
Poissons Rouges, dans Comix 2000, 2000
Aux éditions La Comédie illustrée :
Une Brêve histoire de l'esclavage, 2001
Aux éditions Humeurs :
Auto-psy
Aux éditions L'Égouttoir :
X, dans L'Abécédaire, coll.Fondue, 2005
Revues :
Jambon Blindé, L'Horreur est humaine, La
Monstrueuse, Fusée, Patate douce, Ego comme X...
Site : http://www.lewub.com/lolmede
|
|
Biographie :
Laurent Lolmède, né le 11 juin 1965 à Figeac, dans le Lot, est un
auteur de bande dessinée qui a pris son quotidien comme sujet
presque exclusif de son oeuvre.
Il passe un CAP de dessinateur en publicité à Bordeaux puis part pour
Paris où il entre, en 1985, à l'École nationale supérieure des arts décoratifs
en section édition-presse.
Il travaille ensuite dans une agence de
publicité.
À partir de 1992, il édite en photocopies ses « extraits naturels
de carnets » qu'il diffuse confidentiellement (ils seront ensuite réédités
par La Comédie illustrée).
Son nom est au sommaire de fanzines
tels que Le Simo, ça peut plaire à des gens, Farfantello, El Building, puis dans diverses revues, et enfin en
recueils édités par Alain Beaulet et Humeurs.
On retrouve régulièrement ses illustrations dans des journaux
tels que Nova Magazine ou Télérama.
Laurent Lolmède continue de remplir des carnets, parfois aquarellés,
de ses observations quotidiennes, et réalise également des petites peintures du quotidien ainsi que des
volumes en papier mâché, aux couleurs vives, qui ne sont pas sans rapport avec l’art naïf et l’art brut, qu’il
affectionne et débusque à peu près partout.
|